MONTRE FORBAN LA MARSEILLAISE : L’âme d’un poulpe, le cœur d’un marin

MONTRE FORBAN LA MARSEILLAISE : L’âme d’un poulpe, le cœur d’un marin

Elle vient du Sud, elle sent le sel, le métal et les souvenirs. Avec La Marseillaise, Le Forban Sécurité Mer largue les amarres et signe une montre de plongée qui a du coffre, du style et de la mémoire. Une vraie française, taillée pour l’eau, mais qui ne perd jamais le Nord. Par Khalad

Photos : Forban Sécurité Mer/DR

Un hommage qui ne sent pas la naphtaline

Il y a des montres qui racontent l’heure. Et puis il y a celles qui racontent des histoires. La Marseillaise, dernière-née de la maison Le Forban Séczurité Mer, fait partie de cette deuxième catégorie. Inspirée d’un modèle de 1979, la Monnin, elle ne se contente pas de rejouer le passé. Elle le réinvente, avec finesse et panache. Son boîtier en acier 316L, poli et brossé, a perdu quelques millimètres au passage, 40,8 mm de diamètre, moins de 12 mm d’épaisseur, mais gagné en équilibre. Elle tient bien en main, elle glisse sous la manche, elle respire l’élégance sans jamais renier son ADN de montre-outil. Une vraie plongeuse, mais avec du tact.

Deux visages, une même mer

Le cadran, lui, joue sur deux tableaux. Abyss Blue, pour ceux qui aiment les profondeurs et les reflets sombres. Onyx Black, pour les nostalgiques des montres patinées, celles qui ont vécu. Dans les deux cas, le soleil fait son travail, le Super-LumiNova éclaire les index, et la trotteuse “lollipop” donne le tempo. C’est beau, c’est lisible, c’est vivant.


Photos : Forban 
Sécurité Mer/DR

Un poulpe au fond du cœur

Mais La Marseillaise ne se contente pas d’être jolie. Elle est aussi solide. Étanche à 250 mètres, équipée d’une lunette unidirectionnelle à 120 clics, elle ne craint ni les vagues ni les chocs. Le fond vissé, orné d’un poulpe étampé, rappelle que cette montre a le sang salé. La couronne vissée et le verre saphir plat complètent le tableau. On peut plonger avec, naviguer, bricoler, vivre. Elle ne bronche pas.

Le Dive Bund : le bracelet qui fait parler

Et puis il y a ce bracelet. Le Dive Bund. Un nom qui claque, une idée qui intrigue. Inspiré du mythique bracelet militaire “Bund”, celui qui protégeait la peau des soldats du métal allergisant, il revient ici en version 100 % caoutchouc FKM. Souple, résistant, prêt pour l’eau salée. Une première mondiale dans l’univers des plongeuses. Et une vraie réussite. On peut le porter avec ou sans le pad central, l’adapter à d’autres montres. C’est fonctionnel, malin, et ça donne à La Marseillaise une allure de baroudeuse chic. Une montre qui a vu du pays, mais qui sait rester à sa place.

Sous le capot, du suisse bien élevé

À l’intérieur, c’est du sérieux. Le calibre Sellita SW200, automatique, fiable, précis. 28’800 alternances par heure, 38 heures de réserve de marche. Pas de chichi, pas de complications inutiles. Juste ce qu’il faut pour que ça tourne rond, longtemps, et sans histoire.

Photos : Forban Sécurité Mer/DR

Disponible, mais pas banale

La Marseillaise est disponible dès maintenant, en Abyss Blue ou Onyx Black, sur Dive Bund (940 €) ou bracelet acier (990 €). Pas de série limitée, pas de course à la rareté. Juste une montre bien née, bien pensée, et prête à vivre.

Une montre qui a du sel

Avec La Marseillaise, Le Forban Sécurité Mer prouve qu’on peut évoluer sans se renier. C’est une montre qui parle aux passionnés, aux marins d’eau douce comme aux plongeurs aguerris. Elle a du style, du fond, et ce petit quelque chose en plus – peut-être le poulpe, peut-être Marseille qui la rend attachante. Une montre française, au caractère bien trempé, qui ne demande qu’à prendre le large. Et nous, on embarque volontiers.


Photos : Forban Sécurité Mer/DR