Ellia Art Gallery, l’art comme battement de cœur avec l’excellence sans élitisme

Ellia Art Gallery, l’art comme battement de cœur avec l’excellence sans élitisme

Ellia Art Gallery n’est pas une galerie comme les autres. C’est une maison vivante, un théâtre dans lequel l’art se joue au quotidien, un espace qui refuse les barrières pour offrir à chacun une expérience sensible et partagée. Par Khalad

L’art comme langage universel

Fondée par Laurence et Stéphane Ellia, la galerie est née d’une conviction simple : l’art doit être accessible, inclusif, et surtout vivant. Ici, pas de codes figés ni d’élitisme. Chaque exposition est pensée comme une rencontre, un dialogue entre les artistes et le public, une façon de créer du lien au-delà des murs.

Photos : Ellia Art Gallery/François Cautret/Urban Film Festivel/Lvmh/DR

Histoire habitée

Installée au cœur du Marais, dans une friche industrielle qui a vu passer des géants comme Andy Warhol, Man Ray ou Anish Kapoor, Ellia Art Gallery s’inscrit dans une mémoire vibrante, mais Laurence et Stéphane ont choisi de ne pas figer cette histoire, ils l’ont réinventée. La galerie devient un lieu muséal et théâtral, où la scénographie raconte, où chaque œuvre habille l’espace et lui donne une âme.

La force des artistes vivants

L’ADN de la galerie, c’est avant tout le contact avec les artistes. Pendant le Covid-19, certains ont pris résidence dans le lieu. Mike Miller, Fifou, Thierry Le Gouès, Ciesay, Cian Moore, Ella Bats, Gwendoline Finaz de Villaine et Jay One, autant de noms qui incarnent cette énergie collective. La sélection repose sur des coups de cœur, mais toujours avec exigence : une technique singulière, une démarche sincère, un message fort.

Photos : Ellia Art Gallery/François Cautret/Urban Film Festivel/Lvmh/DR

L’art urbain comme manifeste

Stéphane Ellia a prolongé cette vision en reprenant le magazine Stuart, dédié à l’influence urbaine et émergente. Relifté avec le graffeur Jay One et Fisheye Magazine, il affirme l’art urbain comme un art majeur, non clivant, autant puissant qu’accessible. C’est une autre facette de la galerie : défendre les artistes vivants, donner une voix à ceux qui inventent aujourd’hui les formes de demain.

Lieu d’engagement et de fête

Ellia Art Gallery ne se limite pas à l’exposition. Elle accueille des événements caritatifs, des festivals, des collaborations d’excellence. En 2019, Rihanna a choisi Ellia Art Gallery pour présenter au monde sa toute première collection Fenty. Récemment, le festival de François Gautret, „Urbain Film Festival 2025“, a réuni Mike Miller et la scène de Los Angeles, dans une ambiance électrique où la DeLorean de „Retour vers le Futur“ côtoyait les œuvres contemporaines. Ici, l’art dialogue avec la culture populaire, le cinéma, la musique, et s’ouvre à toutes les générations.

Photos : Ellia Art Gallery/François Cautret/Urban Film Festivel/Lvmh/DR

Une galerie différente

Ce qui définit Ellia Art Gallery, c’est cette volonté de créer du lien. Luxe et accessibilité se conjuguent, l’excellence se mêle à la bienveillance, et chaque visiteur repart avec une émotion, une conversation, une révélation. L’art n’est pas réservé à une élite, il est un battement de cœur partagé.

Photos : Ellia Art Gallery/François Cautret/Urban Film Festivel/Lvmh/DR