Dans une finale inédite d’une saison atypique de la Ligue des Champions, le Bayern de Munich a fait parler toute son expérience pour s’imposer face à une équipe du Paris St Germain bien trop naïf à ce niveau ultime. C’est ce trophée aux grandes oreilles prestigieux et grandiose que le meilleur club allemand a participé six fois.
Cela les place à nouveau au niveau du troisième club le plus titré de l’histoire européenne avec Liverpool, et après l’AC Milan et le R e al de Madrid. Ils ajoutent un deuxième triplé à cela, et le neuvième triplé européen en tout, refusant au PSG le même exploit dans le processus. De plus, le Bayern est également devenu le premier club à réussir une saison de Ligue des champions parfaite, remportant chaque match, même si des records comme celui-là ne semble pas si remarquable compte de la nature de la saison et de la nature du football moderne.
La Ligue des Champions échappe encore au PSG, pourtant si proche du Graal. Le projet de l’Etat du Qatar n’a toujours pas abouti, après ce revers en finale dans une démonstration d’élargissement insatisfaisante. Novice et peu inspiré dans cette première finale, leur promesse précoce s’est dissipée et en seconde mi-temps, ils ont fini angoissé et paniqué pendant que le Bayern déroulait son jeu habituel sans sourciller. Il s’agissait d’un trophée, qu’ils regardaient avec une telle joie. Il n’y avait peut-être pas de fans, mais il y avait toujours en eux cet espoir de levier cette coupe qui comptait le plus pour le club. Le Bayern a entamé ce match comme tous les autres, ils ne se sont pas adaptés au PSG. Pleinement confiants en leurs capacités offensives, ils ont persisté avec cette ligne haute, malgré des alertes dangereuses contre eux, générant de nombreux moments de haute tension. La force d’attaque du PSG est rapide, la première mi-temps, est équilibrée mais les parisiens sont plus agressifs et en 22 minutes, ils multiplient les attaques. Kylian Mbappe libère Neymar, mais le brésilien bute en conclusion face au grand gardien allemand Manuel Neuer. Plus tard, c’est au tour d’Angel Di Maria de flamber en vain. La seule a choisi qui n’allait pas dans ce match de football de haute qualité jusque-là, c’est la finition.Kylian Mbappe en était encore pour ses frais quelques minutes plus tard, quand ça ne veut pas …
Les bavarois ne sont pas en reste par le biais de son attaquant vedette, Robert Lewandowski qui voit sa frappe rebondir sur le poteau droit des buts parisiens. L’attaquant polonais récidive superbement avec une tête improvisée peu de temps après, mais le portier parisien Keylor Navas fut parfait à l’instar de son homologue bavarois, lequel a brillamment réussi à empêcher le PSG d’entrer deux fois avec des arrêts dont il un le secret. La deuxième mi-temps est plus poussive pour les parisiens, les bavarois continuent leur jeu haut et met ses attaquants en orbite avec le français Kingsley Coman très incisif. À l’heure de jeu, l’arrière latéral du Bayern, Joshua Kimmich fait étale de toute Mené d’un but, les parisiens tente de répondre, mais les joueurs du Bayern jouent mieux avec des touches de balle et des instinctifs. Quelques tentatives çà et là du PSG et de Kylian Mbappe, mais les joueurs bavarois veillent, et tous viennent défendre. Les intrusions des Neymar de Kylian Mbappé sont réduites à néant, soit par des tirs faciles, soit par les interventions des défenseurs bavarois. Sans doute à un moment, le PSG aurait dû bénéficier d’une pénalité, mais cela ressemblait à celui que le Bayern souhaitait plus tôt. sa qualité technique en envoyant le ballon parfaitement sur la tête de Kinsley Coman qui avec autorité rencontré le ballon au fond des filets du goal costaricien.
Mené d’un but, les parisiens tente de répondre, mais les joueurs du Bayern jouent mieux avec des touches de balle et des instinctifs. Quelques tentatives çà et là du PSG et de Killian Mbappe, mais les joueurs bavarois veillent, et tous viennent défendre. Les intrusions des Neymar de Killian Mbappé sont réduites à néant soit par des tirs faciles soit par les interventions des défenseurs. Sans doute à un moment, le PSG aurait dû bénéficier d’une pénalité, mais cela ressemblait à celui que le Bayern souhaitait plus tôt.
Coup de sifflet final et les espoirs du PSG se sont envolés pour le plus grand plaisir du Bayern de Munich. Bourreau des parisiens, Kingley Coman ancien sociétaire du PSG auteur du seul but, fut assurément l’homme du match. Cette coupe de la Ligue des Champions est peut-être la seule ou les qualités familières du sport comme l’expérience persistante même dans une saison des plus étrange pour couronner souvent les champions les plus familiers.